Monday 25 August 2014

From Siem Reap to Ho Chi Minh City (Saigon)

Une traditionnelle maison sur pilotis
Juste avant 6h, je me suis réveillé et j'ai pu éteindre l'alarme de mon réveil pour empêcher de réveiller tout l'hôtel. Je devais être prêt pour mon pickup à 6h30 en bas. Le bus n'est arrivé que près des 7h, ce qui m'a permis de discuter un moment avec le propriétaire écossais. Il était prof d'anglais principal dans une école avant de prendre sa retraite quelque peu anticipée.

A 7h38, le bus quittait la station centrale où nous avions été amené par le bus qui faisait le tour des hôtels. Un poil de retard, mais toujours bien dans les temps. Avec quelques Oreos et un jus d'orange, nous voici en route pour Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Le bus nous a aussi remis un petit snack composé d'une mini pâtisserie, d'un mini sandwich et d'une bouteille d'eau. Deux heures plus tard, nous nous sommes arrêtés pour manger et nous étirer les jambes.

Le bac de Neak Leoang

La route était bonne jusque là. La distance réduite de moitié, mais la durée restante était d'environ 4 heures. Normal, en voyant la condition des routes. Les parois du bus tremblaient en faisant un vacarme qui empêchait tout autre son d'arriver à l'oreille. Mes jambes glissaient sur le sol et ne restaient pas en place. Mon sac à dos est tombé sur ma voisine de siège. C'est une dame Khmer fort sympathique qui travaille à Siem Reap et qui retournait chez elle. Elle m'a fait goûter le produit frit aux crevettes qui est traditionnellement vendu un peu partout au Cambodge.

Peu avant Phnom Penh, les routes se sont à nouveau améliorées. Les paysages restent verts, plats et pleins d'eau.

Sur le bac avec les vendeurs

Aux environs de 14h10, nous arrivions à Phnom Penh. Le départ dans le bus suivant, s'est fait à 14h30. A chaque dépassement, le chauffeur de bus, pour avertir les motoristes devant nous, se devait de klaxonner. Ce qui ajoutait au brouhaha constant. Mais au moins l'état des routes était meilleur.

Dans le courant de l'après-midi, après avoir longé le Mekong pour un bout de route, nous approchions d'un pont en construction. Ce pont remplacera probablement le bac que nous allions prendre sous peu pour traverser le fleuve. Sur le bac, des vendeurs et des enfants qui faisaient la charité essayaient de se faire un peu d'argent pour manger.


Sur la route, nous découvrions des centaines de camionettes remplies de gens. C'était comme  un exode. Etaient-ce des gens qui allaient à un rassemblement? Aucune idée. En tout cas, il y en avait beaucoup. (voir photo plus bas)

Quelques heures plus tard, nous arrivions à la frontière entre le Cambodge et le Vietnam. Il faisait déjà nuit. L'opérateur de bus a collecté les passeport pour faciliter la sortie du Cambodge. Une fois notre tampon obtenu, nous revoici dans le bus, direction le poste d'immigration au Vietnam. Là il fallait prendre tout nos bagages avec nous. Les passeports avait à nouveau été collectés pour être envoyé au plus vite à l'immigration Vietnamienne, pour accélerer le processus. Chacun notre tour, nous étions appelés à passer l'immigration.

Les paysages aquatiques de l'Asie du Sud-Est

Un dernier message à Nam pour lui dire que nous quittions la frontière et nous voici en route. 

Deux heures plus tard, vers les 21h15, nous arrivions à Saigon. Nam m'attendait déjà depuis plus d'une demi heure, pensant que le trajet se passerait plus vite.

Une rue au hasard

La sortie du samedi soir?

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